100 célébrités
des Hautes-Pyrénées
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100 célébrités des Hautes-Pyrénées
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EMBRUN Éliane (1923-2009)
Chanteuse et actrice
Éliane EMBRUN, née Éliane Branchard, le 28 mars 1923 à Argelès-Gazost et décédée le 17 février 2009 à Argelès-Gazost, a connu une célébrité internationale dans les années 1950. Elle restera dans la mémoire de nostalgiques de ces années, la chanteuse de charme la plus sensuelle par sa voix au timbre exceptionnel. Elle était la fille de René Marcel Branchard, qui exerçait la profession de mécanicien électricien et de Victorine Dupond. Elle grandit à Argelès-Gazost, chante dès son plus jeune âge et prend des cours de danse à Tarbes, sans penser un seul instant à faire carrière dans le monde du spectacle. Très jeune, elle épouse le 6 octobre 1939 à Argelès-Gazost, Maurice Jean Bangratz, qui exerçait la profession de dessinateur. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le couple part s’installer à Paris. Elle prend des cours de chant avec Paulette Vétheuil, qui lui écrit la musique de « Au chant des mandolines », le premier disque qu’elle enregistrera en 1947. Sa voix est immédiatement remarquée. Elle est prise alors dans le tourbillon des émissions de radio, les galas à Paris, en province et à l’étranger. Elle commence à chanter dans des cabarets comme Le Drap d’Or et donne des galas en France et en Belgique. En 1949, elle enregistre « Congo » et « Si j’étais une cigarette », sa chanson fétiche et remportera le Prix Lucienne Boyer et le Premier prix d’interprétation au concours de la chanson de Deauville, avec « Qu’il était doux », d’Henri Contet, son compagnon durant plus de dix ans et qui était le père de sa fille Dominique. Elle enregistra alors accompagnée par les meilleurs orchestres comme celui de Raymond Legrand ou celui d’Albert Lasry. Elle participera à des tournées au Liban, en Belgique, au Brésil, en Égypte. En 1950, il y aura le Tour de France dans la caravane publicitaire. Et à partir de 1950, elle apparaît et chante aussi dans plusieurs films, se produit au Brésil et au Moyen-Orient, participe à plusieurs émissions de télévision et divorcera. Ainsi, en 1950, elle participa au film « Quai de Grenelle », d’Emil-Edwin Reinert, en réalisant les parties chantées du personnage de « Simone Lamy », qui est joué à l’écran par Françoise Arnoul. En 1951, elle tient un rôle dans le film « Une fille à croquer » de Raoul André, aux côtés de Maurice Biraud, de Serge Reggiani et de Louise Carletti. La même année elle participe au film « Rue des Saussaies », de Ralph Habib, en réalisant les parties chantées du personnage de « Jeanne Masson », qui est joué à l’écran par Anne Vernon. Pendant ces années 1950, elle apparaît souvent dans les émissions « Music-Hall Parade » de Gilles Margaritis, qu’elle admire beaucoup. Mais en 1963, elle suspend sa carrière pour des raisons personnelles et familiales et se retire à Argelès-Gazost dans ses chères Pyrénées, retrouver ses parents, veiller sur les études de sa fille Dominique et s’adonner à ses sports favoris. En 1990, elle se produit dans l’émission « La Chance aux Chansons » et recommence occasionnellement à donner des galas ou à animer les soirées des casinos en France et en Belgique. En 1993, elle enregistre vingt chansons publiées sur le CD « Douce France ». Considérée comme une chanteuse de charme, elle maîtrisait une diction parfaite et savait s’investir dans un répertoire choisi et exigeant comme « Mes jeunes années » de Trenet, « Mélancolie » de Pierre Dudan, « Boléro pour l’inconnu » de Bruno Coquatrix, ainsi que dans les grands standards de la chanson américaine. Enchaînant créations et succès, elle nous laisse de merveilleux enregistrements, une voix expressive et sensuelle, un physique juvénile et sexy, qui l’imposèrent immédiatement comme l’une des meilleures chanteuses de charme des années 50. Chansons connues : Au chant des mandolines (1947), Valse perdue (1947), Clopin clopant (1948), La semaine d’amour (1948), Congo (1949), Pense à moi (1949), Qu’il était doux (1949), Amoureusement (1950), La nuit s’achève (1950), La ronde de l’amour (1950), Mam’zelle dimanche (1950), Rose de Belleville (1950), Si j’étais une cigarette (1950), Boléro pour l’inconnu (1950), Le moulin d’Isabelle (1951), Petite étoile d’or (1951), Pour un oui pour un non (1951), Fumée aux yeux (1952), La complainte des infidèles (1952), M’aimerez-vous toujours mon amour ? (1952), Sans ton amour (1952), Un chalet dans les pins (1952), Ça m’fait quelque chose (1953), Domino (1953), Embrasse-moi bien (1953), La fontaine aux fées, La valse au village, Mes jeunes années, Garde-moi toujours, La Fontaine amoureuse, Dans ses bras, Mélancolie, Je t’aimerai toujours, Tennessee valse, Virginie mon amie, Où irons-nous dimanche prochain?, Esclave, Embrasse-moi bien, Fumée aux yeux, Trop jeune.
Éliane EMBRUN, née Éliane Branchard, le 28 mars 1923 à Argelès-Gazost et décédée le 17 février 2009 à Argelès-Gazost, a connu une célébrité internationale dans les années 1950. Elle restera dans la mémoire de nostalgiques de ces années, la chanteuse de charme la plus sensuelle par sa voix au timbre exceptionnel. Elle était la fille de René Marcel Branchard, qui exerçait la profession de mécanicien électricien et de Victorine Dupond. Elle grandit à Argelès-Gazost, chante dès son plus jeune âge et prend des cours de danse à Tarbes, sans penser un seul instant à faire carrière dans le monde du spectacle. Très jeune, elle épouse le 6 octobre 1939 à Argelès-Gazost, Maurice Jean Bangratz, qui exerçait la profession de dessinateur. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, le couple part s’installer à Paris. Elle prend des cours de chant avec Paulette Vétheuil, qui lui écrit la musique de « Au chant des mandolines », le premier disque qu’elle enregistrera en 1947. Sa voix est immédiatement remarquée. Elle est prise alors dans le tourbillon des émissions de radio, les galas à Paris, en province et à l’étranger. Elle commence à chanter dans des cabarets comme Le Drap d’Or et donne des galas en France et en Belgique. En 1949, elle enregistre « Congo » et « Si j’étais une cigarette », sa chanson fétiche et remportera le Prix Lucienne Boyer et le Premier prix d’interprétation au concours de la chanson de Deauville, avec « Qu’il était doux », d’Henri Contet, son compagnon durant plus de dix ans et qui était le père de sa fille Dominique. Elle enregistra alors accompagnée par les meilleurs orchestres comme celui de Raymond Legrand ou celui d’Albert Lasry. Elle participera à des tournées au Liban, en Belgique, au Brésil, en Égypte. En 1950, il y aura le Tour de France dans la caravane publicitaire. Et à partir de 1950, elle apparaît et chante aussi dans plusieurs films, se produit au Brésil et au Moyen-Orient, participe à plusieurs émissions de télévision et divorcera. Ainsi, en 1950, elle participa au film « Quai de Grenelle », d’Emil-Edwin Reinert, en réalisant les parties chantées du personnage de « Simone Lamy », qui est joué à l’écran par Françoise Arnoul. En 1951, elle tient un rôle dans le film « Une fille à croquer » de Raoul André, aux côtés de Maurice Biraud, de Serge Reggiani et de Louise Carletti. La même année elle participe au film « Rue des Saussaies », de Ralph Habib, en réalisant les parties chantées du personnage de « Jeanne Masson », qui est joué à l’écran par Anne Vernon. Pendant ces années 1950, elle apparaît souvent dans les émissions « Music-Hall Parade » de Gilles Margaritis, qu’elle admire beaucoup. Mais en 1963, elle suspend sa carrière pour des raisons personnelles et familiales et se retire à Argelès-Gazost dans ses chères Pyrénées, retrouver ses parents, veiller sur les études de sa fille Dominique et s’adonner à ses sports favoris. En 1990, elle se produit dans l’émission « La Chance aux Chansons » et recommence occasionnellement à donner des galas ou à animer les soirées des casinos en France et en Belgique. En 1993, elle enregistre vingt chansons publiées sur le CD « Douce France ». Considérée comme une chanteuse de charme, elle maîtrisait une diction parfaite et savait s’investir dans un répertoire choisi et exigeant comme « Mes jeunes années » de Trenet, « Mélancolie » de Pierre Dudan, « Boléro pour l’inconnu » de Bruno Coquatrix, ainsi que dans les grands standards de la chanson américaine. Enchaînant créations et succès, elle nous laisse de merveilleux enregistrements, une voix expressive et sensuelle, un physique juvénile et sexy, qui l’imposèrent immédiatement comme l’une des meilleures chanteuses de charme des années 50. Chansons connues : Au chant des mandolines (1947), Valse perdue (1947), Clopin clopant (1948), La semaine d’amour (1948), Congo (1949), Pense à moi (1949), Qu’il était doux (1949), Amoureusement (1950), La nuit s’achève (1950), La ronde de l’amour (1950), Mam’zelle dimanche (1950), Rose de Belleville (1950), Si j’étais une cigarette (1950), Boléro pour l’inconnu (1950), Le moulin d’Isabelle (1951), Petite étoile d’or (1951), Pour un oui pour un non (1951), Fumée aux yeux (1952), La complainte des infidèles (1952), M’aimerez-vous toujours mon amour ? (1952), Sans ton amour (1952), Un chalet dans les pins (1952), Ça m’fait quelque chose (1953), Domino (1953), Embrasse-moi bien (1953), La fontaine aux fées, La valse au village, Mes jeunes années, Garde-moi toujours, La Fontaine amoureuse, Dans ses bras, Mélancolie, Je t’aimerai toujours, Tennessee valse, Virginie mon amie, Où irons-nous dimanche prochain?, Esclave, Embrasse-moi bien, Fumée aux yeux, Trop jeune.